Vénus - Diam's: текст песни id 314842
J’ai le sang qui bout,
Le cњur qui boume,
J’ai le sang qui bouge.
T’es sorti d’o toi et ta belle bouche?
Y avait des signes et a ne trompe pas.
Rare de nos jours de trouver un homme qui ne trompe pas.
Tu m’as tap dans l'њil j’en ai perdu la vue,
Sap dans le neuf j’en ai perdu ma rue.
T’as donn de l’amour ma plume,
Moi qui suis si dure d’habitude, j’en ai perdu mon amertume.
Plonger dans ton cњur devenait une vidence,
Sur ton corps immense qui fredonnait un air pour que j’y danse.
T’tais si doux, t’avais tout pour me plaire,
Tout pour que je tombe mais aussi tout pour me perdre.
Quand j’y pense j’en perds repres et vigilance,
Et seul ce silence ici me rappelle ta prsence.
T’es sorti d’o, toi et tes valeurs?
T’avais mis o mon mal tre, mes mots, mon mal et mes malheurs?
Des gestes lents en guise de langage,
Un zeste de langue et je restais l, sans languir de nos voyages.
Sans longueur notre histoire n’est pas comme la leur,
La ntre a l’allure de love, mais s’est teint ta douleur
J’ai le sang qui bout,
Le cњur qui boume,
Cet amour trop tabou.
T’es sorti d’o toi et ta belle bouche?
J’voulais te parler mais j’en ai perdu la voix
Faut dire que ton amour n’tait pas trs dur voir.
J’te disais: «Un jour on fera des enfants, des bouts de toi»
Enfin et dans le fond j’taurais this: «Fais-moi en plein.»
Tu disais «Je suis droit parce que mon fils doit l’tre,
Et puis j’ai la foi parce que ma fille doit natre. «Tu me parlais religions et croyances,
Collision, trilogisme et clairvoyance.
Ainsi je t’ai donn mon cњur, mon corps et dans mon camp
T’as bais sans rancњur une femme pour cinq minutes de bon temps.
T’as foutu en l’air deux ans de vie commune,
T’as failli me pousser au meurtre, moi qui suis pourtant sans rancune.
T’avais le pouvoir dans ton futin,
Tu voulais tout avoir et tes conqutes surtout ton butin,
En baisant cette fille tu m’as baise aussi, ton amour tait nocif,
Moi qui rvais que de nos fils.
Tu m’as offert une histoire sans fin,
Aujourd’hui je sais que l’amour n’est pas une histoire sans fin.
Prenez garde ce sentiment qui touffe,
Moi je pensais revivre, mais j’en ai perdu mon souffle.
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